[Enterrement] Yann Von Wittelsbach

Le froid, la tristesse s'abattaient sur la famille des Von Wittelsbach. La famille se decimait petit à petit. Le tres Haut rappelait pres de lui les plus jeunes....Les vieux etaient ils si coriaces que çà pour qu'il n'en veuille pas? Allez donc savoir.
C'est à la demande de son frere qu'elle arriva au domaine familial pour celebrer cette cetemonie d'obseque.
La chapelle venait d'etre benit il y a peu . Elle donna des ordres par missives aux domestiques qui se trouvaient sur les terres des Von Wittelsbach.
A son arrivée à la chapelle elle remarqua que ses consignes avaient été suivies à la lettre....Et vit le cerceuil ou se trouvait son neveu. Elle se rapprocha de celui ci, se signa et pria toute seule tout en regardant là son neveu .
Elle enfila son aube et se mit à l'entrée de la Chapelle attendant les membres de la famille

Si tôt après avoir reçu la funèbre missive de son père, Yannig et sa femme s'étaient mis en route vers le domaine pour saluer une dernière fois son frère.

C'est par un temps pluvieux qu'il franchi le portail des terres des Von Wittelsbach qu'il n'avait pas traversé depuis bien longtemps.
Il descendit du carrosse, tendit la main vers sa femme pour l'aider à descendre puis allèrent immédiatement au salon où la majorité des Von Wittelsbach devaient être réunis pour endurer cette nouvelle épreuve.

Spoiler:

Quelques jours auparavant….

C’est une lettre qui le fit détourner de sa mission actuelle…. Une foutue lettre de son secrétaire, lui annonçant le retour de son fils en le castel,.., celui-ci accompagne par quatre soldats aux couleurs de Bidache, encadrant le défunt transporter en brancarde, le corps voile de son armoirie familiale…

Apres avoir traverse du nord au sud le royaume, il se trouvait en son castel, face a ce qu’il ne pouvait imaginer, des larmes de tristesse vint s’ajouter un Noooooooooonnnnnnnnnnnn, pourquoiiiiiii, résonner aussi fort que le jour ou les premiers cris de son fils avaient envahi le château de Came….

Jamais jusqu'à ce jour, Louis Philippe ne fut reste si longtemps en la même position, accroupi devant le corps, pleurant toutes les larmes de son corps, la disparition de son héritier…. Jamais il n’avait tant porte de coup dans le sol, lui rendant une main griffée de sang s’écarquillant dans les entailles faites par la rigidité de la pierre….

Il n’en revenait point, après ses deux filles, son plus jeune fils le quittait, son héritier, le seul dans lequel il devinait les traits de sa défunte épouse,… Durant des heures il resta au chevet de son fils, a tenter de trouver explications la ou il n’y en avait aucune, refusant par deux fois quelconques autre présence dans la pièce, minant l’ambiance dans tous le castel ou sa peine s’était empare de chaque recoin, laissant parcourir les cris de douleurs provenant du Vicomte….

Il resta ainsi jusqu'à n’avoir plus une larme, plus une pensée, plus un son pouvant sortir de son être…

Apres avoir fait appeler son secrétaire, il donna quelques ordres.

Fait porter le corps dans la chapelle familiale. Couvre-le de ses armes seigneuriales et familiales. Fait porter la nouvelle en Came et Bidache, que le septième jour de janvier fusse décrète journée de deuil, que ses serfs et notables aillent prier pour son salut.

Consignes que le secrétaire s’acquitta en plus d’écrire les courriers d’annonces, préparer les festivités pour l’événement, et s’assurer que rien ne serait oublie pour l’enterrement de celui qu’il pensait un jour servir….

Arrive a la Chapelle…

Deux jours s’étaient déroulés, durant lesquels le vicomte n’était sorti de sa chambre, sans dormir, faisant vivre a celle-ci chacun de ses moments d’haine et colère. Tandis que les funérailles approchaient, il se prépara, se contentant d’habits des plus simple, laissant tous ustensiles inutiles, le tour recouvert d’une cape noire arborée d’une croix blanche. Il n’était ni Fréjus, ni Came, pas plus un suzerain qu’un vassal, juste un père accable par la mort de son fils,….

Apres une courte traversée a cheval suivi d’une escorte qu’il ne remarqua meme pas, il arriva devant la chapelle,… Visage déconfit, plus aucune larme n’arrivai a couler,… il posa le pied a terre et rejoint lentement sa sœur, sur le trajet, un garde lui glissa…

Votre fils est dans le salon, Monseigneur.

Dites lui de nous rejoindre en la chapelle. Nous l’y attendrons avec les autres.

Il reprit sa marche, monta les quelques marches, et arriva devant sa sœur qu’il prit dans ses bras, l’embrasser, avant de poser sa joue contre la sienne, et de murmurer difficilement…

Ma sœur, je te remercie d’officier…. Petit souffle ou l’on entendit que son souffle avant de reprendre… le plus cruel est que je n’ai jamais eu le temps de lui dire a quel point j’étais fier, et combler de savoir qu’un jour il prendrait ma succession…. De nouveau une pause, il cligna de l’œil, mais sèche était la larme qui vint le piquer… tu ne m’en voudras point, j’attendrai les convives a cote de mon fils….

Il la serra un peu plus fort dans ses bras, avant de la lâcher, rentrer dans la chapelle, face au corps s’approcher petit a petit du corps avant de poser genoux a terre devant, se recueillant tant bien que mal du peu qu’il arrivait……

Herra reçut la missive annonçant la disparition de Yann. Son visage se ferma, un grand ami venait de partir, laissant un vide autour de lui. Toutes ses pensées allèrent, alors, vers son chers et tendre qui venait encore de perdre un de ses enfants.
Ne réfléchissant pas plus longtemps, elle prit immédiatement la route de Came, elle se devait d'être là pour le soutenir dans ce moment de si grande douleur qui s'abattait sur la famille Von Wittelsbach.

Elle fit galoper son cheval le plus rapidement possible Une fois arrivée sur place, elle alla amener sa monture à l'écurie, puis prit immédiatement la direction de la chapelle.
Elle entra. Louis-Philippe se recueillait près du corps de son fils. Elle resta à l'entrée de la chapelle, ne voulant pas perturber ce moment de recueillement.

Yannig restait dans le salon froid et désert. Toute ses pensées étaient tournées vers son frère et ses sœurs puis son enfance...
Il se sentait bien seul à présent dans cet immense château qui l'avait vu courir dans tout les sens après son frère et ses sœurs

Messire, votre père vous attend en la chapelle.

Il ne répondit pas. Il se contenta d'un hochement de tête puis se leva. Il se mit en route vers la chapelle en silence, traversant les jardins de son enfance si tristes à présent.

Il arriva et vit tout d'abord sa tante qu'il n'avait plus vu depuis plusieurs mois. Yannig marcha jusqu'à sa hauteur, s'arrêta et la regarda l'air grave. Elle semblait plus vieille de plusieurs années depuis le jour où il lui avait dit au-revoir. Peut être était-ce la tristesse et la fatigue qui lui donnait cette impression. Il pouvait lire sur son visage les traces de beaucoup de conflits physiques ou émotionnels. Néanmoins, elle n'avait pas perdu de sa superbe. Elle semblait toujours le dépasser de plusieurs pousses.
Était-ce vraiment le cas ou bien était-ce l'esprit de Yannig qui l'avait toujours vu plus grande que lui ?

Il ne savait que dire...

La nouvelle était tombé. Son cousin et suzerain venait de perdre à nouveau l'un de ses héritiers.
Une fois encore la mort frappait la famille Von Wittelsbach, une fois encore le deuil et le crêpe noir en habillait les membres.

Alors lui il ne venait pas du nord de la France, mais de l'Espagne. Un direct from Taragone, tchiquita olé. Mais il était là tout de même.

C'est le visage grave qu'il entra dans la chapelle à la suite du défunt père et des autres membres de la famille.

Fantôme Nbr de messages : 18

c'est un matin comme tout les autres que Koreldy reçu une missive portant le sceau de Came. Koreldy se demanda ce que cela pouvait être. Une fantaisie de Came encore? Une tranche de rire?
Il prit la lettre et attrapa le couteau qui trainait dans sa botte gauche, puis se mit à contempler la vue qui s'offrait à lui du haut des remparts de Dieppe. Il décacheta ensuite la lettre et se mit à lire. Ses doigts se crispèrent quelque peu sur le papier et son sourire s'effaça instantanément. Ainsi l'ancien héraut de Gascogne nous avait quitté.

Il avait été triste d'apprendre que Yann avait été destitué de son rang de héraut, il y avait peu, mais cette nouvelle ci, était bien plus triste. La mine renfrognée, il descendit les marches deux à deux des remparts pour aller chercher quelques affaires, prévenir sa douce et rejoindre son cheval. Prendre le temps de se changer? Bof, il faudrait repartir aussi sec et puis de toute façon tout le monde savait qu'on était sur le pied de guerre.

Quelques jours plus tard, en le castel de Macaye :

Koreldy avait chevauché par mont et par veau... euh... de jours comme de nuit, dormant le stricte minimum pour y arriver à temps. C'est la veille qu'il arriva au château de Macaye. Les hommes restés défendre le castel le regardaient un peu étonnés de son arrivée. Il était seul et avait une mine un poil fatiguée. Il rentra dans la cour intérieur et sauta de cheval. Un des palefreniers avait été levé et arriva à moitié habillé pour prendre en charge son cheval.
A peine eut-il mit le pied à terre que son page lui sautai déjà dessus.

Monseigneur, nous ne pensions pas vous voir rentrer si tôt... Ou est dauna Sharlyne?

Petit regard vers le page, repoussant tout ce qu'il lui traversait par la tête.

En Normandie, Henri, en Normandie avec ma tante. Comment se portent nos gens?

Il marchèrent en même temps qu'il parlait. Koreldy était pressé de se remplir le gosier, la longue promenade l'avait quelque peu affamé.

Bien Monseigneur, bien malgré la crise que subit la Gascogne ces derniers temps. Je présume que ce n'est pas pour une bonne nouvelle que vous êtes icelieu... Surtout si Dauna Sharlyne n'est pas la...

Petit regard vers le page alors qu'il époussetai la neige qui était sur son manteau avant de le dégrafer.

Non, en effet... Je viens assister à l'enterrement de Yann Von Wittelsbach...

Aucune réponse du page qui devait bien être au courant de la mort de Gascohna.

Fait préparer une tenue pour demain... aucune couleur vive bien entendu...

Bien Monseigneur...

Il se cala devant un bon repas près du feu. Alors qu'il mangeait, son regard se perdit dans la lueur du feu qui crépitait dans l'âtre du salon dans la cuisine. Il avait une faim de loup à cause du voyage. Le tout entrecoupé de bon vin pour pas changer.
Une pensée pour son aimée qu'il avait laissée en Normandie, la laissant au main de sa tante et surtout lui laissant le soin de préparer leur mariage pendant qu'il ne sera pas là. Il se demanda dans quel état d'esprit pouvait être Came. Même s'il n'aimait pas outre mesure cet homme, un certain respect avait fini par s'installer entre les deux hommes. Un jeu aussi, ou de temps en temps, ils s'envoient quelques fleurs.
Néanmoins, il ne pouvait comprendre l'ampleur de la douleur qu'il pouvait ressentir n'ayant pas encore d'enfant. Un sentiment qui doit être très étrange que de perdre un enfant, de perdre un être qui est sensé vous enterrer plutôt.

Avant d'aller se coucher, il fila dans son bureau étudier quelque parchemin pour se donner une idée de la gestion de Macaye et de Geaune pendant son absence. Pis quand ses paupières, il alla se coucher, demain allait être une longue journée.

Le lendemain, il s'était levé tôt, bien qu'il aurait aimé dormir un peu plus pour récupérer de la fatigue accumulé par le voyage. Il avait mangé tranquillement et avait enfilé sa tenue. Une tenue frappé par l'emblème des Bruck, mais au lieu d'une rose rouge, celle ci avait revêtu du noir, synonyme de deuil. Les couleurs vives ne siéent pas à un enterrement. Une fois sur le départ, son cheval l'attendait ainsi qu'une petite escorte. Koreldy qui avait passé quand même sont épée à sa taille regarda les gardes levant un sourcil.

Vous faites quoi soldats?

Le deux gardes se regardèrent ayant suivi les ordres du page. Celui-ci était non loin, sachant déjà comment allait se dérouler la scène suivante.

Bah... c'est à dire que... On va vous accompagner jusque la bas Monseigneur... On ne voudrais pas qu'il vous arrive quelque chose en chemin...

Petit sourire narcissique, avant que Ko reprenne la parole.

Je n'ai pas traversé le royaume seul pour faire quelque lieux entouré d'une armada pour me rendre à un enterrement... Ne croyez vous pas?

Les hommes baissèrent les yeux alors que Ko les fusillait du regard.

Reprenez vos postes, si je ne suis pas rentrer ce soir, alors vous pourrez aviser... Et puis, vous savez où me trouver...

Il serait fait selon vos ordres Monseigneur...

Le page arriva au moment ou la petite troupe se dispersait pour reprendre leurs activités respectives.

Soyez prudent sur la routes Monseigneur... Nous attendrons votre retour avec impatience. Je préparerais avec soin vos affaires pour votre voyage.

Je te remercie Henri, prend soin du castel en mon absence.

Une petite caresse à l'encolure de son cheval et celui-ci s'élança en direction du château de la famille Von Wittelsbach. Au bout de quelque heures de chevauché, il arriva en la demeure. Un page le conduit jusqu'à la chapelle, après avoir remit monture, manteau et babiole, où il y avait déjà du monde. Tous de la famille. Il se demanda un instant s'il ne faisait pas tâche dans ce décor, mais qu'importe. Il était loin de faire les choses selon les règles depuis toujours. C'est peut être de là que venait son surnom d'ailleurs. Il salua Herra qui se trouvait dans l'entrée de la chapelle et se plaça dans le fond de la chapelle.

Louis apprit la nouvelle alors qu'il était en train de travailler dans son bureau de Bailli. Ainsi, un petit-cousin avait de nouveau succombé... cela faisait longtemps que la famille n'avait plus connu un événement joyeux. Que des événements d'une grande tristesse !

Louis se prépara pour partir en direction du château familial qu'il connaissait évidemment bien. Il arriva, seul, et entra dans la chapelle où se trouvaient plusieurs membres de la famille, parmi eux certains qu'il n'avait pas vu depuis quelques temps. Son regard était triste. Peut-être irait-il parler à l'un ou l'autre après, mais pour l'instant, il n'en avait pas le courage et le regard suffisait à se comprendre.

Il s'assit puis attendit le début de l'enterrement.

Seigneur de St Pe Nbr de messages : 154

Bouleversé par la missive que le messager de son souverain venait de lui apporter, Anzeme se mit en route sans plus attendre en direction du château familial des Von Wittelsback.

Le trajet lui paru interminable tant il avait le coeur serré par cette nouvelle qui, une fois encore frappais cette famille.

De longues heure plus tard, le voilà à la porte de cette immense propriété où il ne venait que pour les grandes occasions mais, celle ci, il aurait aimé ne jamais la vivre.

Dès son arrivée il se dirigea vers la chapelle du domaine où reposait la dépouille du fils de son Suzerain.

De nombreuses personnes étaient déjà là, des familiers bien sûr, mais aussi nombre de personne que St Pe ne conaissait pas.

Il s'approcha du corps sans mot dire puis, se recueilli longuement avant de présenter ses condoléances à son Suzerain dont la douleur minait le visage.

Il s'écarta pour se mêler à l'assemblée silencieuse puis entama de réciter son crédo en hommage au défunt.

Il était arrive péniblement jusqu'à la dépouille de son enfant, fatigue à n’en plus pouvoir, … face a son fils, il le regardait tentant de deviner son bonheur d’avoir rejoint le Très Haut avec sa mère, tandis que lui était la, perdant son dernier lien d’une partie de sa vie comme si celle ci n’avait existée…

Pendant qu’il se recueillait, il senti une première présence entrer dans la chapelle, il reconnut de suite son pas discret, mais malgré le bonheur de la savoir ci lieu, son visage resta de marbre…

Puis une seconde, troisième, ….

Mon fils, il va être l’heure que tu rejoignes ta mère…

Le vicomte se signa, avant de se relever péniblement….

Il sortit des gants de son mantel et les enfila pour cacher ses mains entache de ses fracas de colère, et se dirigea doucement vers la sortie de la chapelle, rejoindre sa sœur….

Il vit son ami et vassal, en retrait, distingua son cousin sur un banc, au fur et a mesure qu’il s’approcha de la sortie, il reconnut le vicomte de Macaye dans le fond, et son cousin…

Arrive devant Biscarosse qu’il enlaça, à rechercher un peu de chaleur et vie qui lui manquait tant en ce moment… la respire doucement avant de lui murmurer.

Il était encore si jeune,… il se tut, resta quelques instants à la sentir, glissa une main dans ses cheveux, lui pose un baiser sur la joue avant de la lâcher sans précipitation et rejoindre sa sœur a l’entrée et trouver son fils…

Bien que les yeux secs depuis un moment maintenant, une larme qu’il s’efforça de cacher, s’écoula le long de son visage…

Il ne sut que dire, aucun son n’arriva à sortir de sa bouche, il ne su trouver les premiers mots… Il était son premier et dernier,

Un regard vers sa sœur, un claquement de doigt envers deux de ses gardes indiquant qu’ils devaient rentrer dans la chapelle, il était temps d’inaugurer cette chapelle, il savait que les eventuels retardataires seraient arriver discrètement….

Yannig regarda longuement son père. Il sentait, à mesure que ses yeux contemplaient le visage de son père, un profond chagrin monter depuis sa gorge jusqu'à ses yeux.

Papa !

Il se jeta dans ses bras alors que toute les larmes qu'il avait retenu jusqu'à présent s'écoulaient en un torrent continu.

Herra vit deubs arriver devant elle, le visage décontenancé, et l'enlacer. Elle l'entoura de ses bras un long moment, sans un mot. Puis, aux mots de Came, elle lui répondit en lui murmurant doucement :

Oui, il était si jeune et si gentil...la vie est parfois si injuste... je suis de tout coeur avec toi...

elle l'embrassa, alors, tendrement sur la joue avant de le laisser rejoindre sa famille.

Pourquoi lui avait elle dit oui, pourquoi c'est pas le patriarche qui s'y colle. Elle tenait à son Gascogne, elle avait appris à mieux le connaitre.
Voir son aelig dans cet etat, voir son frangin dans le meme etat qu'elle avait connu un an auparavant, elle n'avait pas besoin de prononcer des mots juste des regards echangés et ils se comprenaient.
Elle lui prit le bras, qu'elle serra fortement et lui murmura à l'oreille je crains que personne d'autre ne vienne il est temps de commencer....Elle remonta l'allée centrale de la Chapelle tenant en sa main son livre des vertues, elle le deposa sur la Chair racla sa gorge et prit parole...

Mes chers Freres et soeurs, enfants d'Aristote, en general je commence mes ceremonies en remerciant pour votre venue en lieu saint, ce jour m'est particulierement difficile . Nous sommes rassemblés ce jour pour les obseques de Gasconha notre feu herault mais aussi fils et ami.
Je vous invite à vous confesser par la priere

La mort ne l'effrayait pas, que nenni, mais face à la peine du coeur aimant d'un père, celui d'un frère, celui des proches parents, dont il faisait parti et partageait le sentiments profond de chagrin... Il préférait rester blême, silencieux, comme une forme de respect pour l'âme de son neveu et celles tourmentées qui peuplaient cette chapelle.

Il joignit les mains et ferma les yeux un instant, le temps de prononcer l'acte de confession.

Papa !

il se retrouva son fils entre ses bras, sentant ses larmes humidifier son mantel.... il lui restait bien plus qu'a son pere, mais s'il en ecoulait autant que Louis Philippe auparavant, son mantel serait vite trempe...

Il serra son fils, quelques instants, restant muet; il etait son dernier en vie, l'aine, le plus vaillant, et celui dont il s'etait le moins occupe tant Louis Philippe avait estime qu'il avait herite la force de caractere de ses deux parents....

Mon fils... lui posa un baiser sur le front Nous ne sommes plus que tous les deux,... il le lacha un peu ton frere nous quitte trop tot, mais il a eu une vie comble d'epoux et d'homme de conviction dans ses aventures entreprises.. il va pouvoir rejoindre le Tres Haut et les autres en paix.... il tenta l'esquisse d'un sourire, il avait presque reussi a se convaincre et a oublier un instant son chagrin...

Se tourne, vers sa soeur, Oui il est temps... tendit la main a son fils, et entra au bras de sa soeur,... remontant l'allee... il lui murmura N'aie crainte, tu es la mieu place pour demarrer cet hommage puis lacha son bras, et se mit au premier rang a cote de son fils,...commencant a prier... le regard porte sur son dernier a qui il devait dire adieu

[HRP: desole tous le monde, vacances, et autres distractions m'ont coupe de ce RP dramaticomediano /HRP]

ILs remonterent ensemble la nef, elle se sentait vraiment pas à la hauteur pour officier ce genre d'office surtout qu e çà la touchait de pres. Pourquoi le vieux patriarche n'etait pas là pour le faire?
Elle se plaça face à eux, prit une grande respiration et .....
[Enterrement] Yann Von Wittelsbach Dabut_10

[Enterrement] Yann Von Wittelsbach Dabut_10

Mes chers Freres et soeurs, enfants d'Aristote, je vous souhaite la bienvenue en cette Chapelle. Je n'ai pas l'habitude des enterrements, j'en fait rarement, heureusement, et plus rarement encore pour la famille.Je vous à prier..
[Enterrement] Yann Von Wittelsbach Confes15

[Enterrement] Yann Von Wittelsbach Confes15